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Contexte : 1976
Les Ministères de la Magie de tous les pays signent un traité de paix avec un peuple depuis longtemps rabaissé et méprisé : les vampires. Pour comprendre cette décision, il faut remonter jusqu'au moyen-âge, aux environs de l'an mille.
A cette époque, vampires et sorciers vivaient en bons termes, coexistaient sans problèmes. Ces créatures magiques, aussi appellées la Caste, étaient des êtres diurnes et délicats, bien loin de ceux que l'on voit de nos jours. Cependant, le monde des vampires fut ébranlé lorsque le chef d'un puissant clan vampirique décida de destituer le reine de l'époque de son trône. Il créa alors une race de vampire qui fut nommé faucheur. Pour se défendre, la reine fut obligé de créer à son tour ces êtres nouveaux et inconnus.
Lorsque la guerre prit fin et que la reine l'emporta, apparut alors le problème des faucheurs : au contraire de leurs créateurs, ils étaient brutaux et ne se nourrissaient que de sang humain. Découvrant cela, les sorciers rompirent alors tout contact avec les vampires et, au fil du temps, une majorité de ces sorciers finirent par oublier l'existence des vrais vampires, remplaçant dans leurs esprits ces êtres de nature pacifique, par les faucheurs . . .
Après des siècles de débats stériles et de discussions houleuses, les vampires de la Caste retrouvent leur statut aux yeux des gouvernements. Mais convaincre les citoyens reste problématique.
Le professeur Albus Dumbledore propose alors aux vampires qui le souhaitent, et avec l'accord du Ministère, d'intégrer Poudlard pour un rapprochement des races.
A l'école, les élèves sont divisés par cette nouvelle. Certains sont éxaltés à cette idée, d'autres suspicieux. Une majorité d'entre eux espèrent cependant que rien ne changera au sein de Poudlard, et comptent sur les maraudeurs, celèbre quator de plaisantins de Gryffondor, pour mettre à peu d'animation dans les couloirs et alléger l'atmosphère.
Mais dans les ténèbres, l'ombre du seigneur noir s'étend. Lord Voldemort prépare un grand coup, et Poudlard pourrait bien être le prochain théatre des horreurs . . .
